Pauvre Souhail Abdella Chichah. Depuis des mois maintenant, il souffre, il est malade et ne peut manifestement plus exercer son métier, voire même vivre normalement. En effet, et il s’en plaint depuis longtemps, sa vie devient un véritable enfer. C’est qu’il est atteint d’un mal qui touche aussi son employeur, l’Université de Bruxelles : la fuite de cerveau.
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